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Love me Tinder

La pandémie a énormément propagé les applications de rencontre, doublant leur chiffre d'affaires et les incitant à développer de nouvelles fonctionnalités. En mars 2020, un nombre record d'inscriptions a été enregistré dans le monde entier, et la même année les app ont généré un chiffre d’affaire de 3 milliards de dollars. Ceux et celles qui les utilisaient auparavant par pur plaisir sont désormais à la recherche de relations plus sérieuses et durables, et ceux et celles qui résistaient encore par timidité, snobisme ou désintérêt ont franchi le seuil après l’exaspération d’un énième confinement. Mais que recherchent les "digital daters" en ligne ? Et, surtout, comblent-il/elles leur attente ? Invitation à lire cette enquête semi-sérieuse (un tantinet autobiographique).

Federica Araco Federica Araco
30 août 2022
dans Opinions
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Cette publication est également disponible en : English (Anglais) العربية (Arabe) VO

C

es dernières années, j'ai encouragé de nombreuses amies célibataires à s'inscrire sur des applications de rencontre. Dans certains cas, je me suis occupée de la sélection de leurs photos de profil, dans d'autres, j'ai dispensé des conseils sur la manière de briser la glace lors des premiers échanges de messages timides et gênants, et j'aime à penser que j'ai contribué, au moins en partie, à la réalisation de leurs rêves d'amour. Pourtant, j'ai longtemps résisté avant de me décider à expérimenter par moi-même ces apps : mon côté romantique refusait de confier la recherche du prince charmant à l'algorithme froid d'un logiciel.

Mes débuts sur Tinder remontent à janvier 2021, peu de temps après avoir appris dans le livre de Rebecca Traister, intitulé All the Single Ladies, que nous vivons à l’époque “la moins accouplée de l’histoire”. En effet le couple n’a jamais connu une telle disette depuis que le monde existe, et même si c'est formidable d'être célibataire par choix, beaucoup de femmes le sont parce qu'il n'y a plus personne dans les parages.

Illustration par Davide Bonazzi. Source : Pinterest.

Les 30-40 ans d'aujourd'hui, que l’on appelle "Millennials", vivent en couple ou sont marié.e.s depuis des années. La plupart de leurs ami.e.s ou les ami.e.s de leurs ami.e.s sont également plus ou moins heureux conjugalement. De fait, statistiquement, il est très difficile pour les personnes de mon âge de rencontrer des célibataires intéressant.e.s dans leur entourage. En outre, les fréquents confinements avaient désertifié presque totalement mes interactions sociales et rencontrer de nouvelles personnes semblait une mission quasi impossible.

Moi aussi, comme des millions d'autres "digital daters", j'ai connu le stress des premiers rendez-vous, j'ai rencontré des personnes que je n'aurais jamais rencontrées dans le monde 1.0 et j'ai éprouvé d'amères déceptions en tombant sur des personnes très différentes de leur photo de profil. Presque immédiatement, j'ai réalisé que le fait de se mettre en valeur en ligne exigeait une forme d’engagement et de courage : me rendre attirante après avoir passé des mois à traîner chez moi en jogging semblait être une tâche titanesque et j'étais terrifié à l'idée d'entamer une conversation brillante avec un parfait inconnu. Mais avec le temps, j'ai perfectionné l'art sophistiqué de la messagerie et j'ai appris à couper court à une conversation à la première phrase vaguement raciste ou misogyne sans prétendre remettre mon interlocuteur sur le droit chemin. Bref, je m'améliorais.

Préliminaires virtuels

En juin, le groupe Match, leader du marché, a dépensé 1,7 milliard de dollars pour acquérir Hyperconnect, qui permettra des expériences de réalité augmentée, et Renate Nyborg, PDG de Tinder, a déclaré que la société envisageait de créer un "Tinderverse" semblable au Metaverse de Facebook. Source de l'illustration : Pinterest.

La première annonce pour cœurs solitaires remonte à la fin du XVIIe siècle ; quelques siècles plus tard, en 1965, des étudiants de Harvard lançaient "Operation Match", le premier service de rencontres en ligne aux États-Unis. Il y a vingt ans, seules quelques applications payantes existaient et leurs très rares abonné.e.s n’admettaient guère les utiliser. Toutefois, en une décennie le nombre d'utilisateurs a augmenté de façon exponentielle, les services de base sont devenus gratuits et les abonnements premium ont fleuri. Avec la diffusion généralisée des smartphones, le stigmate social a pratiquement disparu au point que les apps, même pour les plus jeunes, représentent uniquement la possibilité de trouver un partenaire. Ainsi la génération Z (18-25 ans) constitue plus de 50 % du nombre total d'abonné.e.s. Avec la pandémie, un nouveau tournant a vu le jour : les "digital daters" recherchent désormais des relations plus stables et plus durables et veulent apprendre à connaître l'autre avant de le/la rencontrer en personne par le biais d'appels vidéo et d'"apéritifs en ligne".

L’algorithme de Cupidon

Source de l'illustration : Pinterest.

Once, la reine du slow dating, offre 24 heures pour décider de rencontrer ou non la personne proposée, selon un calcul mathématique complexe. Meetic, le plus populaire en Italie, dispose d'un assistant virtuel pour régler correctement tous les paramètres. Tinder, disponible dans 190 pays et plus de 40 langues, récompense les usagers les plus actifs et permet de choisir parmi 29 genres et 9 orientations sexuelles. OkCupid s'adresse à celles et ceux qui recherchent des relations stables et pose au moins 15 questions, comprenant la préférence des réponses à attribuer à un partenaire potentiel. Pour les plus fatalistes, il y a Happn  qui, grâce au GPS, montre les personnes inscrites sur la plateforme parmi celles rencontrées dans la journée. Les célibataires de religion islamique ont recours à Muslima, qui est depuis 2016 l'un des principaux sites de mariages musulmans avec une base de données de plus de 7,5 millions d'usagers. Les passionné.e.s de fitness utilisent Teamup, les végétalien.ne.s Veggly, les joueurs de jeux vidéo Kippo, tandis que sur Loosid, le mot d'ordre est "sobriété". The Inner Circle, qui dispose de filtres permettant d'établir des connexions sur la base d'intérêts et de valeurs communs, est accessible sur invitation.  De leur côté, les femmes les plus entreprenantes utilisent Bumble où elles ont 24 heures pour faire le premier pas.

Image de Teresa Sdralevich, source : Pinterest.

Le monde virtuel est en train d’ouvrir de nouveaux horizons au public féminin, de plus en plus libéré des vieux rôles stéréotypés de la séduction amoureuse. Une étude menée par Tinder révèle que 66 % des filles italiennes de la génération Z se sentent libres de choisir les personnes avec qui interagir. Lorsqu'on leur demande ce qu'elles attendent d'un.e possible partenaire, 50 % des filles interrogées répondent “parler avec quelqu'un.e qui les fait se sentir libres d'être elles-mêmes sans se préoccuper du jugement d’autrui", "renverser les conventions sociales" (51 %), "vivre le moment présent sans règles préétablies" (45 %) et "exposer son corps" (30 %). Le mot le plus fréquemment employé dans leurs profils est "forte", suivi de "féministe", "rêveuse", "ambitieuse" et "activiste", et parmi les bonnes intentions pour 2022, beaucoup ont indiqué qu'elles voulaient s'aimer telles qu'elles sont.

Quant à moi, je ne cesserai jamais de rêver d'une rencontre romantique dans un petit bar de quartier, devant le cinéma un dimanche pluvieux ou à la bibliothèque, peut-être devant le même livre.

Mots-clés

La pandémie a également modifié le contenu et la durée des conversations. En février 2021, les discussions sur Tinder étaient 19 % plus longues que l'année précédente, et les plus jeunes mettent très souvent à jour leurs profils avec des informations toujours plus précises et plus personnelles.

Au cours de la première vague du COVID, le terme "anxiété" a été inclus dans les biographies 31 % plus souvent que durant les mois précédents. En avril 2021, le quatrième mot le plus utilisé sur Tinder par les usagers italien.ne.s âgé.e.s de 18 à 26 ans était "greenpass". Selon une enquête menée par YPulse à la même période, 17 % des “daters” ont abordé le sujet de la sécurité sanitaire avec la personne en vue avant de la rencontrer dans la vraie vie. Enfin, sur le site OKCupid, le mot "vacciné.e" a augmenté de 680 % par rapport aux mois précédents.

Le monde de l'amour virtuel a également créé un nouveau métalangage, essentiellement anglophile. Le “Kondo-ing” du nom de la célèbre gourou japonaise, Marie Kondo, spécialiste du rangement (home organizing) et du développement personnel, suggère d’annuler le “match”  (la correspondance) sans explication lorsque l'on se rend compte que l'on n'est pas intéressé.e. Le “ghosting” signifie littéralement "disparaître" et est souvent alterné avec le “zoombing”, c'est-à-dire la réapparition après des semaines de silence. Les plus désespéré.e.s font de la mendicité, s'accrochant aux miettes d'attention accordées par un.e partenaire indisponible, et connaissent souvent le “benching” (mise en veilleuse).

Boom o boomerang?

Ces communautés virtuelles modifient radicalement notre rapport à l'amour, au point que nous tombons de plus en plus souvent amoureuses de l'idée plutôt que de la personne. Source de l'illustration : Pinterest.

Selon Time2play, 67 % des Italien.ne.s n'utilisent toujours pas les applications de rencontre préfèrant rencontrer les personnes en chair et en os (43 %). En effet, ils ou elles ne leur font pas confiance (24 %) ou craignent les mauvaises surprises (7 %). 32,6 % des personnes interrogées sont inscrites, mais seuls 21% ont trouvé l'amour en ligne. L'approche fluide du couple ouvert semble la plus populaire. De nombreux usagers vivent déjà une relation stable et certains sortent avec deux ou trois personnes en même temps : parmi eux 55,5 % sont des femmes.

“Les liens ont été remplacés par des connexions, écrit Zygmunt Bauman. Alors que les relations nécessitent un engagement, se connecter et se déconnecter est un jeu d'enfant. Sur Facebook (ou Tinder, ndlr), vous pouvez avoir des centaines d'amis en bougeant un doigt. Se faire des amis hors ligne est plus compliqué. Ce que vous gagnez en quantité, vous le perdez en qualité. Ce que vous gagnez en facilité (confondue avec la liberté), vous le perdez en sécurité.”

Quant à moi, je ne cesserai jamais de rêver d'une rencontre romantique dans un petit bar de quartier, devant le cinéma un dimanche pluvieux ou à la bibliothèque, peut-être devant le même livre. En attendant, je continue à naviguer et à faire des rencontres plus ou moins chanceuses, en essayant de ne pas me perdre.

Cliquez ici pour lire la version italienne de l'article.
Federica Araco

Federica Araco

Journaliste, Federica Araco a collaboré à la version italienne du magazine en ligne Babelmed pendant 9 ans comme rédactrice et traductrice du français et de l’anglais vers l’italien. Elle a été rédactrice en chef de la revue trimestrielle “The Trip Magazine” dédié au voyage et à la photographie. Elle a également collaboré à d’autres magazines italiens : LiMes, Internazionale, Left. Ses thèmes de prédilection sont les questions de genres, le féminisme, le multiculturalisme, l’exclusion sociale, les phénomènes migratoires, l’écologie et le développement durable. Depuis 2016, elle publie aussi des photo-reportages de voyage sur son blog.

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